Avant de valider les propositions de réhabilitation des responsables de sites, l’inspection des installations classées recourt, dans les cas les plus complexes, à une tierce expertise effectuée, dans la quasi totalité des cas, par le BRGM (Bureau des Recherches Géologiques et Minières) et portant le plus souvent sur les évaluations hydrogéologiques et les moyens techniques proposés.

Force est de constater que les enjeux économiques sont très lourds tant en frais d’études (de 30 k€ à 300 k€ par site) que pour les montants de travaux qui peuvent atteindre plusieurs dizaines de millions d’euros (sites de l’Estaque, Areva à Miramas)
L’action des pouvoirs publics se déploie dans plusieurs domaines complémentaires.

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